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Depuis le 2 novembre 2009, la France a été entraînée, malgré elle, dans les tourments d’un débat sur l’identité nationale. De nombreuses voix s’étaient pourtant élevées pour avertir que le lien posé d’emblée entre l’immigration et l’identité nationale était de nature à libérer une parole au « mieux » stigmatisante, au pire raciste.
Malheureusement, ces prédictions apparaissent aujourd’hui se situer bien en-deçà d’une réalité inquiétante et nauséabonde. En effet, depuis plusieurs semaines, les débats sur l’identité nationale sont apparus comme des espaces de libération d’une parole raciste, prompte à remettre en cause, de façon insidieuse ou explicite, la légitimité de la présence sur le sol national de catégories entières de la population.
Un nombre substantiel de réunions nous font honte tant les propos qui y sont tenus heurtent nos consciences de républicains et de démocrates, attachés aux valeurs du vivre ensemble. Propos violents envers les immigrés et leurs enfants, vision caricaturale des « jeunes de banlieue », obsession autour de la figure du musulman comme euphémisation d’un racisme anti-arabe qui n’ose plus s’exprimer en ces termes : voilà quelles semblent être les principales réflexions qui émergent des réunions tenues sur le territoire.
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Après l'ensemble de la gauche, des syndicats et des associations, François Bayrou a estimé, jeudi 24 septembre, sur RTL, que taxer les indemnités versées aux handicapés et aux accidentés du travail était une mesure injuste. "Il me semble que [ces personnes] ne devraient pas être la cible d'un impôt nouveau. Tout se passe comme si en France c'était toujours les plus fragiles qu'on ciblait, les accidentés du travail, les mères de famille", a dit le président du MoDem.
Une victime d'accident du travail perd déjà, a-t-il souligné, toute la partie de sa rémunération liée à l'activité, comme les primes et heures supplémentaires, ainsi qu'une grande partie de son salaire. "Ceux qui sont au sommet de la pyramide, ceux qui ont de très gros salaires, un patrimoine et des revenus très importants, ceux-là sont protégés par la loi, on a décidé une fois pour toutes qu'on ne leur demanderait aucun effort", a ajouté M. Bayrou.
La mesure appuyée par Nicolas Sarkozy mercredi et qui doit être introduite par le biais d'un amendement à la loi de finances, rapporterait selon le gouvernement entre 150 à 250 millions d'euros par an. Le déficit de l'assurance-maladie doit dépasser 10 milliards d'euros cette année et pourrait atteindre 15 milliards d'euros en 2010, selon les prévisions officielles.
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Franck Faveur (dernier rang - 2ème en partant de la gauche), président de l'instance nationale des Jeunes en déplacement pour l'élection du nouveau président, Nicolas Joyau (dernier rang - 4ème en partant de la gauche).
Suite à l'Assemblée Générale du 29 juin, les Jeunes Démocrates du Calvados ont élu pour les 2 années à venir le président et le bureau de leur mouvement.
Nicolas Joyau, 26 ans, a été élu président.
La nouvelle équipe à pour premiers objectifs :
- d'instaurer un dialogue / d'amorcer le dialogue avec les autres partis politiques jeunes du Calvados au sujet de la politique locale de la jeunesse;
- d'aller à la rencontre des étudiants calvadosiens dès la rentrée;
- de tisser des liens avec les autres partis démocrates européens
Les Jeunes Démocrates du Calvados rappellent également que l'on peut adhérer au MoDem pour 5 euros.
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retrouvez les résultats à Caen et à Hérouville sur http://www.caendetoutesnosforces.fr/
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CHRONIQUE - Actu-Environnement.com - 03/06/2009
Le sujet des OGM a été assez peu débattu durant la campagne ce qui est bien regrettable car cette thématique témoigne bien des désordres d'une commission hyperlibérale, qui n'a cessé de s'opposer aux Etats qui ne voulaient pas d'OGM. Se faisant, elle a organisé de manière inacceptable la comitologie au point de faire de l'AESA un organe ayant délivré pas moins de 500 avis dont aucun défavorable aux OGM. Or, la commission sortante s'enfonce dans cette position alors que de nombreux signes venus d'outre-atlantique en particulier en cause les dogmes de Monsanto et des pouvoirs publics qui le soutiennent.