Pôle éducatif et quartier du Val
Une bonne moitié de la somme dégagée qui s'élève à 1,056 million d'euros va être consacrée à quatre principaux dossiers : le pôle éducatif Malfilâtre pour 250 000 €; le quartier du Val, pour 130 000 €; les tribunes du stade Prestavoine, pour 49 000 € et 120 280 € pour la rue d'Épron.
Voirie
Suite aux dégâts causés par le gel et les épisodes neigeux de l'hiver dernier, une provision de 150 000 € a été prévue pour les travaux de réfection. Par ailleurs, un parking sera réalisé au pied du 101, Grande-Delle pour 30 000 €.
Enseignement
17 000 € vont être consacrés au la création de classes aux écoles Boisard et Montmorency. La bibliothèque de l'école du Val bénéficiera, de son côté, de 6 500 € de mobilier.
Sports
Des aménagements seront réalisés dans les gymnases et le dojo pour 22 400 €. La réfection partielle du terrain de sports Daniel-Huet (18 000 €) et l'acquisition de matériel (5 900 €) permettront une pratique satisfaisante du football.
Jeunesse et animation
La Ville a mis à disposition des jeunes un local aux Belles-Portes. Après concertation avec eux, il sera aménagé et équipé pour 7 400 €. La somme de 12 000 € sera aussi affectée à la réfection partielle des salles polyvalentes de la Grande-Delle et de la Haute-Folie. Les services administratifs du centre de loisirs pourront aussi s'installer à l'école Camille-Blaisot, après 20 650 € de travaux.
Modernisation des services
Une enveloppe complémentaire de 36 200 € permettra d'acheter un nouveau minibus destiné aux déplacements des associations hérouvillaises.
La minorité déçue par 2009
Lors de cette séance de conseil, les élus ont manié de nombreux chiffres en examinant, notamment, le compte administratif 2009. Par la voix d'Emmanuel Renard, la minorité regrette « un taux de réalisation des projets seulement à hauteur de 50 % alors qu'on a fait de la communication sur la totalité des projets ». Prenant exemple sur le Département, Emmanuel Renard note qu'« au conseil général, on est à plus de 90 % des programmes réalisés ».
L'adjoint aux finances Laurent Mata, lui, ne voit dans ce compte administratif qu'une photo au 31 décembre : « Les choses se sont nettement améliorées depuis. » Pour le maire, Rodolphe Thomas, « il était indispensable d'inscrire tous les projets au budget. Sans cela, nous n'aurions pas eu les aides du plan de relance ».
Sébastien BRÊTEAU.