- Détails
- Détails
Les enfants des familles les plus modestes mangeront gratuitement, à partir de la rentrée prochaine. Environ 850 enfants sont concernés par la mesure.
Environ 850 enfants (soit 700 familles) sur les 1 500 déjeunant déjà à la cantine seront concernés. La municipalité estime que la gratuité générera en outre une centaine d'inscriptions supplémentaires. Près de 2 000 enfants sont inscrits dans les écoles maternelles et élémentaires publiques d'Hérouville.
Sur les 200 000 repas servis annuellement, environ 75 000 devraient devenir gratuits. « On s'est aperçu que de plus en plus de familles ne pouvaient ou n'osaient inscrire leurs enfants à la cantine, faute de moyens, souligne Rodolphe Thomas. Il est inacceptable que des enfants ne puissent pas se nourrir. » Cette gratuité faisait partie de ses promesses électorales. Son coût annuel pour la ville est de 60 000 €.
Jusque-là, les familles payaient de 0,28 à 2,88 € par repas. Encadrement compris, un déjeuner revient au total à 8 €. « Les aides de la Ville permettaient de descendre jusqu'à 2,88 €, explique Laurent Mata, premier adjoint. Ensuite, le centre communal d'action sociale, lui-même subventionné par la municipalité, versait des aides complémentaires, en fonction des revenus. » La gratuité transitera aussi par le CCAS. Les familles qui payaient jusqu'à 1,40 € le repas en bénéficieront. En revanche, si elles ne préviennent pas de l'absence d'un enfant à un déjeuner, elles devront s'acquitter de la somme, « pour responsabiliser et éviter tout gaspillage », reprend Christine Bonnissent, maire-adjoint chargé de l'Éducation.
Au-delà de cette gratuité pour les plus défavorisés, les familles avec des revenus moyens (jusqu'à 2 500 € par mois, avec deux enfants) bénéficieront eux d'une baisse « de 10 % sur les tarifs actuels », précise Pierre-Yves Lacroix, conseiller délégué à la réussite éducative. Pour les familles plus aisées, les tarifs ne bougent pas.
Par ailleurs, pour les enfants inscrits dans les deux écoles élémentaires privées d'Hérouville, « l'effort financier sera identique, termine Laurent Mata. Elles devront juste s'acquitter de la différence si le tarif pratiqué dans l'école est plus élevé. »
Virginie JAMIN.
- Détails
Depuis ce matin tous les caennais sont soulagés…
Après un suspens insoutenable…
Brigitte LE BRETHON a enfin annoncé son retour en politique !
Autoritarisme, bilan de mandat médiocre, rivalité destructive avec Luc DUNCOMBE pendant 7 ans puis rabibochage entre les deux tours, sont les principales causes de la victoire de Philippe DURON en mars dernier.
Pour le MoDem, il n’a jamais été question de « stratégie du chaos », comme le signale Brigitte LE BRETHON. Tout était simplement une question de projet !
Brigitte LE BRETHON ne tire aucune conclusion du message envoyé par les caennais, pas l’ombre d’une autocritique… Selon elle, c’est tout simplement une « incomprise » de la politique.
Après une défaite aux législatives puis aux municipales, rien ne l’arrête et la voilà déjà repartie pour les élections sénatoriales et régionales…
Brigitte LE BRETHON attaque Philippe DURON sur sa méthode de travail sans avoir participé à aucun conseil municipal. Au MoDem, nous préférons attendre et voir les projets sans faire de procès d’intention à la nouvelle majorité municipale choisie par les Caennais.
Brigitte LE BRETHON pense que ma stratégie personnelle était « on perd et on attend six ans », je lui réponds qu’elle n’a toujours pas compris que l’ère LE BRETHON – DUNCOMBE - MEXANDEAU est révolue.
Le MoDem souhaite désormais participer au renouvellement de la vie politique caennaise et prendre part au débat démocratique sans sectarisme ni a priori.
Philippe LAILLER
Président du MoDem 14
- Détails
La réunion du Modem à Douvre-la-Délivrande a été l'occasion de faire le point sur les élections dans cette circonscription et sur les grandes questions nationales débattues en ce moment. L'assistance nombreuse a permis un bon échange. Voici quelques images et nous vous donnons rendez-vous à Dives le 3 juin prochain.