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L'équipe Web est heureuse de vous annoncer l'ouverture dans quelques jours du site du Modem de la Manche qui sera tenu par Madeleine Briche :
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Corinne LEPAGE, vice-présidente du Mouvement Démocrate et présidente de CAP21 juge scandaleuse la composition du tout nouveau Haut Conseil des Biotechnologies.
En effet les représentants du comité économique, social et éthique n’auront aucun pouvoir tandis que le comité scientifique où se prendront les décisions est totalement noyauté par les pro-OGM, à l’exception notoire du professeur le Maho.
Corinne LEPAGE regrette que ce comité reprenne les membres pro-OGM de la précédente Commission du Génie Biomoléculaire comme Mr Messéan dont on connaît les positions affirmées en faveur des OGM et ne compte aucun spécialiste de biologie moléculaire ou de génétique ayant émis des travaux contradictoires sur les impacts sur l’environnement et la santé.
Le Crii-gen , dont l'expertise indépendante est reconnue, dont des membres ont été experts pour l'Union européenne dans le cadre du litige devant l'OMC n'est même pas représenté. De même n'ont pas été repris les membres du comité de préfiguration critiques vis à vis des OGM.
C''est une véritable parodie qui conforte s'il en était besoin, l'impossibilité en France de disposer d'expertise indépendante au niveau des pouvoirs publics.
A l'heure où des scientifiques américains mettent en garde contre l'absence d'études indépendantes sur l'impact sanitaire des OGM , CAP21 regrette que les engagements du Grenelle sur l'expertise soient délibérément violés.
Après le risque environnemental, désormais clairement identifié et incontestable pour les OGM pesticides proposés en cultures comme le Mon 810, le jour viendra où des études mettront clairement en lumière le risque sanitaire des OGM. Dès lors, les comptes devront être rendus et les responsabilités établies.
Corinne LEPAGE, présidente de CAP21
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"Je suis pour que l'on protège les régions les plus fragiles du monde, pour qu'on les rende autonomes en matière de production agricole et de production industrielle. Ce que nous avons fait après la guerre pour les pays européens, je considère que c'est un devoir que nous le fassions pour eux et pas que nous continuions ce qu'il faut bien appeler des politiques colonialistes, qui consistent à aller leur piquer leurs matières premières, en particulier l'uranium, à les transformer chez nous en produits finis et à leur renvoyer chez eux, faisant que ces pays sont absolument exploités et ruinés. J'ai vu des choses dans les déplacements récents du président de la République à ce sujet qui doivent nous donner à penser. Ceci est impossible, surtout dans la période de crise que nous sommes en train de vivre. On a fait une politique agricole commune dont le but était de réserver aux producteurs européens au marché européen. On doit faire la même chose pour les producteurs africains. Voilà des idées simples qui vont nous servir de marques de fabrique, d'identité, dans le grand débat européen."
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Réalisé par un dessinateur amateur de l'équipe
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René Monory était un autodidacte, un humaniste social et un visionnaire. Sa trajectoire politique reste comme étant un des parcours les plus atypiques de la 5ème République et laisse une empreinte des plus originales dans notre Histoire récente .Il occupa de nombreuses fonctions ministérielles, notamment à l’Economie et à l’Education Nationale.
L’Homme évoquait souvent le « bon sens » pour expliquer son action politique, son charisme naturel imposait le respect aux intellectuels et aux hauts fonctionnaires de l’Etat.
La politique ne doit pas être le fait ou le monopole d’une élite. C’est l’enseignement que nous devons tirer de l’engagement politique du Garagiste de Loudun, un homme du réel qui fut durant toute sa vie politique résolument tourné vers l’avenir.
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Contrairement à l’ensemble des élus réunis autour du Ministre dans les salons de la préfecture, je souhaite apporter quelques bémols à cet enthousiasme général et ainsi me faire le porte parole de nombreux Bas-Normands.
En effet, comme beaucoup d’usagers de la SNCF, je pense que cette avancée ne doit être qu’une première étape dans l’investissement ferroviaire de la région.
Parler de TGV pour la Basse-Normandie ne doit pas être un sujet tabou !
La Basse-Normandie est une des régions oubliées par l’Etat depuis de trop nombreuses années en matière de grandes infrastructures ferroviaires, routières et aéroportuaires.
Quand la Bretagne parle d’une nouvelle ligne TGV reliant Rennes Paris en 1h30 à l’horizon 2014, nous en sommes à nous féliciter de gagner 20 minutes de trajet en 2020…
A Strasbourg, le Président OBAMA a annoncé qu’il enviait le Train à Grande Vitesse aux Français. Le 6 juin il pourra constater que les Bas Normands l’envient aussi !
Rodolphe THOMAS